Intelligence artificielleLe challenge de l’Intelligence ArtificielleIl est très souvent reproché aux versions numériques des jeux d’avoir une Intelligence Artificielle (IA) très faible. Les raisons sont simples :
Notre expertiseLes IAs d’Happy Meeple ont été développés par notre expert Nicolas Guibert. En 1998, Nicolas commence à programmer un logiciel de jeu de dames 10x10. En 2003, son logiciel Buggy bat le Grand-Maître N’Diaga Samb dans un match en 6 parties organisé à Cannes durant le festival international des jeux (voir www.buggy-online.com). Nicolas a ensuite développé plusieurs moteurs d’IA, y compris des robots prenant des décisions en temps réel sur des marchés dynamiques. Selon Nicolas Guibert, "L’Intelligence Artificielle n’est pas qu’une question de technique (alpha-beta, scoring, algorithmes génétiques, réseau de neurones, systèmes experts, etc.). Il est extrêmement important d’utiliser la ou les bonne(s) et de construire le modèle adapté à la tâche spécifique qui doit être confiée au robot. Il n’y a pas de méthode infaillible, il faut à chaque fois construire un modèle mathématique adapté." “La force des ordinateurs est leur capacité de calculs. Pour tous les jeux tactiques, qui demandent justement des calculs, programmer une IA est très simple et le joueur humain aura un gros désavantage face à la machine. En revanche pour les jeux stratégiques, ce qui signifie des jeux où il faut planifier à long terme, l’ordinateur est en difficulté, il ne peut se battre contre le cerveau humain. Et c’est là que le challenge réside pour le programmeur. Lorsqu’un logiciel parvient à battre un joueur humain sur le terrain de la stratégie, alors le programmeur peut être fier. Mais avant que cela ne se produise, les humains ont en général un bon moment de rigolade devant eux, en regardant la faiblesse des coups du robot !" |